LIVRES

(En construction. Lancement septembre 2017)

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Scott Peck

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« Le chemin le moins fréquenté « La vie est difficile. » C’est par cette affirmation que Scott Peck, psychiatre mondialement connu et respecté, commence son livre. Si nous souffrons, ce n’est pas tant à cause de la difficulté de la vie que de notre croyance en une vie facile. Cette attitude, en partie due à notre éducation et aux idées fausses que la société transmet, entraîne dépression, maladies, échecs et névroses. Scott Peck nous invite à ne plus fuir ce qui fait mal en utilisant des subterfuges ou des excuses. À travers les récits de ses patients et des exemples tirés de sa propre vie, il nous enseigne ce que personne ne nous a jamais appris : des leçons fondamentales pour grandir, aimer, s’engager et être plus fort. Le chemin le moins fréquenté vous permettra de faire des pas de géant dans votre vie en vous offrant des clés d’évolution psychologique et spirituelle. »

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Le livre de Scott Peck, Le chemin le moins fréquenté, m’a aidé à réviser mon MONDE PERÇU. Dans mon autre livre électronique – Témoignage personnel… sur le chemin le moins fréquenté15, je précise l’événement qui a suscité cette lecture :

« La vie est difficile. » Le livre de Scott Peck, Le chemin le moins fréquenté, commence par cette petite phrase. À l’été 89, j’avais besoin de lire, d’assimiler cette vérité. Faisant partie du club des nombreux employés précaires de notre société, je me retrouvais encore sans contrat de travail à la fin de cette année scolaire.

 J’identifie clairement cette époque de ma vie où j’avais « acheté » de ma culture nord-américaine – je pense même de ma culture plus générale de la société de surconsommation – que la vie devait nécessairement être facile. Cette fausse perception imprégnée dans mon monde perçu générait un mal disproportionné. Oui, j’avais perdu mon emploi. Oui, étant père de trois enfants en bas âge, je vivais un déséquilibre compréhensible. Mais, il fallait me questionner, me demander pourquoi j’étais paralysé et désorienté. Comprenons qu’une autre personne, dans la cinquantaine, en perte d’emploi devra plutôt réviser les images de son MONDE IDÉAL si cet emploi avait une valeur très importante parce qu’il a répondu pendant de nombreuses années à ses besoins de sécurité, de pouvoir, d’appartenance et de liberté. Pour cette personne, le processus du deuil sera ardu. Dans mon cas, même dans la trentaine, j’avais l’expérience de plusieurs emplois successifs. Je m’inquiétais moins pour mon besoin de sécurité (trouver un autre emploi) ou pour mon besoin de pouvoir (me sentir compétent pour trouver un autre emploi). Aujourd’hui, ayant en tête la Théorie du choix, je comprends pourquoi le livre de Scott Peck m’a aidé à cette étape précise de ma vie.

En résumé, des auteurs nous donnent des informations différentes de celles diffusées par la culture ambiante. Selon nos valeurs, nos filtres personnels, nous les acceptons dans notre MONDE PERÇU, ce qui modifie notre perception du monde. Si cette nouvelle perception nous aide à retrouver l’équilibre, nous les accueillons dans notre monde idéal pour, ensuite, actualiser ces nouvelles visions du monde dans notre vie. C’est le même processus – j’ai le goût de dire combat – que des parents, conscients que notre culture de surconsommation déresponsabilise l’individu, vivent en offrant à leurs enfants des valeurs de solidarité humaine ou de respect de l’environnement. En termes de Théorie du choix, je dirais… des valeurs de responsabilités humaines et de responsabilités environnementales. Vous voyez, on pourrait développer longtemps la Théorie du choix dans différents champs de l’activité humaine !